Les turkmènes, bis.

J’ai déjà oublié le nom de cette ville où nous sommes arrivés trop tard. Trop, car le soleil cognait fort depuis un moment déjà et la chaleur était étouffante. À la recherche d’un endroit pour déjeuner et se désaltérer, on nous indique une salle un peu plus loin où l’on sert à manger.

Pendant que je gare la moto, Fred se rapproche de la cuisine pour nous commander quelque chose à manger. Le menu affiché au tableau est en Turkmène… Difficile de comprendre quelque chose ! Alors elle tente une approche, à grand renfort de gestes, pour demander à voir en cuisine ce qui est disponible, mais une des dames lui fait comprendre froidement qu’il est hors de question qu’elle y pénètre. Sur ce, Fred ne se démonte pas et commence à se moquer d’elle en lui parlant en français dans un débit ininterrompu. Les autres femmes commencent à rire et font signe à Fred d’entrer. Après le repas, c’est finalement une vraie séance de photo qui aura lieu dans les cuisines. Toutes les femmes se marrent. Elles ont définitivement adopté la photographe.

Trop chaud pour repartir, nous allons nous installer sur une des plateformes dans la cour et nous comprenons que nous sommes en fait dans l’enceinte  de l’hôpital municipal, et nous venons de déjeuner à la cantine !

Les « copines » nous voient par la fenêtre et nous apportent tapis et coussins pour notre sieste digestive…

Fortes têtes les femmes turkmènes, sans doute, mais aussi des cœurs tendres !

femmes turkmènes

notre copine

la râleuse

infirmières turkmènes

sur la route

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*