Un livre moto complètement timbré !


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Attention, voici un livre complètement timbré ! L’angle choisi par Hervé Dreux, pour parler de la moto, est en effet des plus originaux : raconter cette passion à travers une autre, celle des timbres.

L’ouvrage « La Moto sur les Dents » recense donc des vignettes, mais aussi des bons à tirer, cartes postales et autres objets épistolaires, à l’effigie d’une marque, d’une machine, d’un pilote ou d’une course.

L’auteur embarque le lecteur dans un véritable tour du monde, empruntant des vignettes du Gabon, du Yemen, du Portugal… et de France, avec la série « Dix motos de légende » sélectionnées par les lecteurs de Moto Magazine en 2002. Les timbres, dessinés par Coyote, Nikolaz, Ptiluc, Margerin, ont été utilisés par La Poste. Un ouvrage de référence pour les collectionneurs.

Beau livre : « La moto sur les dents » par Hervé Dreux, éditions Cleopas ; 194 pages, 24 x 24 cm ; 27 €.

A commander sur la boutique Motomag.com

BD sur les 100 ans de la FFM, la belle histoire


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La belle histoire, que celle de la Fédération Française de Motocyclisme (FFM)… Après un riche et beau livre en début d’année, pour fêter son centenaire, l’institution du sport moto en France s’est associée avec l’éditeur belge spécialisé dans la BD auto-moto, Paquet.

On avoue avoir eu peur à la lecture de l’intitulé… « Encore un ouvrage qui ressasse des souvenirs de vieux », craignait-on. Finalement non, ce récit historique est léger, livre des anecdotes amusantes, et finit par rendre humaine la veille dame centenaire et aristocratique qu’est la FFM !

On appréciera le gros effort de coordination fourni par Baudouin Deville, l’auteur de la BD remarquée « Riders on the Storm », qui est aussi directeur de la collection Carénage aux  éditions Paquet.

Pour rendre hommage à la centenaire, il a réuni une quinzaine d’illustrateurs : Philippe Abbet, Laurent Astier, Callixte, Olivier Dauger, Baudouin Deville, Jean-Luc Delvaux, Bruno Di Sano, Thierry Dubois, Daniel Gonzalez, Philippe Gurel, Jérôme Lebrun, Richard Ortiz, Lucio Perinotto, Alexis Segarra, Olivier Speltens…

On a particulièrement apprécié l’illustration de la Coupe Kawa par L. Astier, le chapitre sur la moto verte par A. Segarra ainsi que « Révolution et contestation » par Baudouin Deville, pavé dans la mare oblige.

BD : « FFM, 100 ans de Passion », par Baudouin Deville et un collectif de dessinateurs, éditions Paquet ; 48 pages, 24 x 32 cm ; 15,50 €, disponible, sur le site de la FFM.

Livre : « 90 ans de motos BMW », la très riche collection de Peter Nettesheim


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C’est de Minneapolis (Minnesota, USA) que nous arrive ce magnifique ouvrage (traduit en français quand même). « 90 ans de motos BMW » est consacré à la très riche collection d’un amateur passionné vivant à New York, Peter Nettesheim.

Plus fasciné par les flat-twins que par les «V» de Milwaukee et ailleurs, Peter a rassemblé l’une des plus belles collections BMW du monde. Il parvient, avec 36 motos, à reconstituer la saga de l’insubmersible firme bavaroise. Seuls les clichés des deux dernières nées (2013) ont été fournis par BMW France.

La couverture nous met dans l’ambiance, avec l’emblématique 90 S à méga carter d’huile et phares additionnels. Au tournant des années 70, ce modèle marque le sursaut de la firme après la morte-saison des sixties.

En rupture avec l’image austère du véhicule gendarmesque, la production devient un peu plus rock’n’roll : couleurs chatoyantes, performances élevées… Comme de juste, les modèles les plus mythiques ont toute leur place.

Toutefois on peut regretter le hiatus de 1969 à 1974 qui zappe l’apparition de la série 5, étape charnière entre le vieux monde et la modernité. De même la série «K100» n’est représentée que par la «K1», figure de proue de la gamme.

Les photos superbes sont agrémentées de développements techniques intéressants et précis ainsi que de points sur l’historique de BMW.

Il faut remarquer que la maison mère n’est pour rien dans l’élaboration de cette œuvre. Néanmoins, Peter Nettesheim parle sous contrôle : il a longuement rencontré Fred Jakobs, archiviste en chef chez BMW à Munich ; entre les deux hommes, l’estime et l’admiration se font jour.

Ce beau livre enchantera à coup sûr les fans de flat-twins mais pourra séduire tout autant les adeptes d’autres marques.

« 90 ans de Motos BMW », par Peter Gantriis, éditions Eyrolles ; 23,5 x 27,6 cm ; 208 pages ; 29,90 euros.

Lien : les livres traitant de moto chroniqués sur Motomag.com

Livre sur le cinéma : « Bikers », la bible des films de motards de série B et Z


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Avis aux amateurs de films de genre, l’ouvrage « Bikers, les Motards Sauvages à l’Ecran » est une bible. LA bible même, pour ceux qui se délectent au ciné (-club), en DVD voire en téléchargement, de ces long-métrages de série B, voire Z avec des motards, voire des bandes de motards. Ces 108 pépites qui ne passeront jamais à l’UGC, au Gaumont ni même au MK2, et encore moins sur France 2, TF1 ni même NT1.

Elles ont pourtant contribué à construire le mythe sur lequel on s’assoit tous les jours avec la certitude d’être différents des autres. « Easy Rider » aurait-il existé sans « The Wild Angels » tourné en 67, deux ans avant le film culte de Dennis Hopper et dans lequel Peter Fonda campait déjà un biker aussi improbable que mystique, avec Nancy Sinatra sur la selle arrière siouplait !

Jack Nicholson et John Cassavetes auraient-ils fait la carrière que l’on connait, sans avoir tourné « Hells Angels on Wheels » et « Devil’s Angels » en 67 ? Nicholson les a d’ailleurs collectionnés, les contributions au culte, lui qui apparait aussi au générique de « Moto Driver » en 70.

Voici enfin un ouvrage complet, et solidement documenté, traitant du cinéma et de la moto. Attention ce bouquin n’entend pas aborder l’ensemble des films de moto, mais uniquement ceux traitant de près ou d’un peu plus loin à l’univers biker. La préface de Sonny Barger, fondateur du chapter des Hells Angels d’Oakland, donne le ton : ici, on ne va parler que de rebelles, de voyous, de bagarres, de sexe, de drogue et de bécanes aussi…

En 1953, Laslo Benedek, pose la première pierre de l’édifice : « The Wild One »  (« L’Equipée Sauvage »). Ce film fait un peu figure de table de la loi. Marlon Brandon y gagne une image quasi divine, posant près de sa Triumph, eh oui ! le mythe fondateur du genre roule en anglaise, ça ne va pas durer.

En 1966, Peter Fonda et Nancy Sinatra tournent sous la direction de Roger Corman : « The Wild Angels ». Désormais on roule en Harley, que l’on soit psychopathe, zombie, adepte des arts martiaux ou… loup-garrou.

Enfin, pas que en Harley… Cette splendide mais sans doute vénéneuse créature se pavane sur une Honda 350 CL Scrambler. Cette moto vous parle ? Oui, c’est la même que chevauchait, nue dans le désert, la un peu plus célèbre bikeuse de « Vanishing Point », le road-movie sous acide de Richard Sarafian.

Soixante ans de cinéma d’un genre marginal, hormis quelques films cultes, répertoriés, classés par ordre chronologique, par cet amoureux de moto et de rock’n’roll, Jean-William Thoury, qui fut le parolier du groupe Bijou.

JWT a réalisé un travail encyclopédique considérable. Chaque film est illustré par son affiche, et un glossaire des termes utilisés dans le monde des bikers est proposé aux lecteurs non-initiés. Bref, du bel ouvrage, qui donne envie de découvrir quelques pépites de série B qui, malheureusement, risquent d’être difficiles à dénicher.

« Bikers, les motards sauvages à l’écran », par Jean-William Thoury ; 386 pages ; 16×24 cm, 30 euros. Acheter « Bikers » sur la boutique en ligne de Motomag.com

Pour en savoir plus sur l’éditeur, Serious Publishing, qui se fixe pour objectif de mettre en avant la culture populaire sous toutes ses formes, allez jeter un œil sur son site, il vaut le déplacement.

Motorcycle Graphics : un beau livre sur la contre-culture et la moto


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« Motorcycle Graphics » est un beau livre, en Anglais, sur la moto et la contre-culture artistique. Pas de prépa, de peintures sur réservoir ou sur casques, ni même de photos dans cet ouvrage, mais vingt-deux peintres, dessinateurs et graphistes des quatre continents, qui exposent et expliquent leur vision de l’objet moto, et tentent de retranscrire les sensations qu’il procure.

On y trouve tous les styles : choppers, cafe racers, dirt track, concept bikes…  La liste des artistes cités est conséquente : Will Barras, Adi Gilbert, Maxwell Paternoster, Stevie Gee, Jeff Wright, Adam Nickel, Carby Tuckwell, Antonio Merinero, Raulowsky, Lennard Schuurmans, Tokyo Guns, Brusco, Dirty Donny, Ryan Quickfall, Chris Watson, Shawn McKinney, Lorenzo Eroticolor, Lapin, Will Pierce, Cay Brondum, Raid71…

L’ouvrage laisse peu place à l’écrit, on lit juste une courte présentation de chacun des artistes. Mais la majorité des 256 pages, très graphiques comme le nom du livre l’indique, est imprimée sur du papier de qualité.

Peintures, affiches, t-shirts ou illustrations de presse, chaque image mérite qu’on s’y attarde. Nos préférées ? Celles de l’Anglais Adi Gilbert, de l’Américain Chris Church, du Néerlandais Lennard Schuurmanns et du Français Philippe Gürel.

L’auteur, Garry Inman, compte parmi ce qu’il se fait de mieux sur les îles britanniques en matière de journalisme moto. C’est lui qui publie la trop rare revue Sideburn. Gary résume ainsi le projet « Motorcycle Graphics » : « J’ai été approché par un éditeur anglais qui souhaitait publier une compilation d’artistes internationaux. Leur travail devait représenter la culture motocycliste. L’éditeur ne souhaitait pas de l’art moderne, mais de la culture contemporaine. Il souhaitait également mettre en avant des artistes pas forcément dévoilés dans d’autres livres. » Mission accomplie !

Beau livre : « Motorcycle Graphics, Outsider Art, Graphics an illustration » par Garry Inman, édition Graffito ; 256 pages, 22 x 27 cm, 44 €.

Le blog de Sideburn, c’est par ici
Et le site de la revue, par là

Beau livre : « The Ride », la bible de la préparation post-moderne


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La préparation post-moderne possède désormais sa bible. Par l’animateur du site Bike Exif, Chris Hunter, voici « The Ride », un très beau livre qui présente le travail de nombreux ateliers de prépa.

Exhaustive, la liste fait la part belle aux images, magnifiques, et aux récits des artistes. On découvre de vrais talents capables d’expliquer leur démarche, tels James Crowe (USA), Roland Sands, Col Foster, et de talentueux photographes capables de capturer les dernières créations des figures du mouvement dans leur habitat naturel (Sam Christmas).

Un ouvrage incontournable pour comprendre comment se redessine la moto moderne.

L’auteur, Chris Hunter, s’est investi à temps plein dans l’animation du site Bike Exif, le must en matière de présentation des prépa mondiales.

De sa Nouvelle-Zélande d’adoption, cet Anglais qui circule en Moto Guzzi V7 Classic s’applique à mettre en valeur, online, ce mouvement qui étend son emprise sur la planisphère motocycliste. Il est amusant de constater que le geek passe du numérique au bon vieux papier pour magnifier, dans « The Ride », les arts motocycliste et photographique. Un juste retour des choses ?

Beau livre : « The Ride : New Custom Motorcycles and Their Builders » par Chris Hunter et Robert Klanten, édition Gestalten ; 320 pages, 30 x 27 cm, 56 €.

Litteul Kévin : le Tom Pouce de la BD moto fête son tome 10


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Litteul Kévin, le Tom Pouce de la BD moto, revient en cette fin d’année, dans le 10e opus de ses aventures, en Harley-Davidson « litteul édition ». Plus de 20 ans après ses premières histoires dans Fluide Glacial, le petit Kévin a grandi sans grandir. Toujours haut comme trois pommes, il observe avec beaucoup plus d’ironie le monde des grands, celui de ses parents, reste amoureux de sa mère qui ne vieillit pas…

… et s’amuse des frasques de son biker de père qui se montre plus souvent enfant que l’enfant.

Le ton reste drôle, incisif, la moto (heu… la Harley !) un peu moins présente, dommage. Avec cette série chère à Coyote, le slogan « la BD pour les jeunes de 7 à 77 ans « prend tout son sens.

Parlons de l’auteur, Coyote, biker pur jus sans être Hell’s et dessinateur solitaire, qui s’amuse à regarder, avec un recul ironique, poétique et un brin nostalgique, ce que peut devenir une bande de motards.

Dessiner des motos, pour Coyote, « c’est un besoin », explique-t-il avec simplicité. « On touche à l’aspect chamanique du dessin, comme dans les grottes de Lascaux : un homme préhistorique esquisse un mammouth au mur, les autres plantent des flèches dessus, en espérant y arriver dans la réalité le lendemain ».

Et notre tatoué de conter la quête de son Graal : « Chacal possède à peu près la même Harley que moi. Je lui ai dessiné la moto dont je rêvais, et j’ai pu me l’acheter un jour grâce aux ventes de mes albums. Je l’ai imaginée, je l’ai couchée sur papier, elle a pris forme ». La vie, c’est simple comme un rêve de môme.

BD : “Litteul Kévin, tome 10“, par Coyote, éditions Le Lombard, 48 pages en noir & blanc, 22,3 x 30 cm, 12 €.

En vente sur la boutique Motomag.com

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BD : « Warm Up », le sport moto explose les cases


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A Moto Magazine, nous avons dévoré la bande dessinée (BD) « Warm Up, D.O.A », sortie voici quelques semaines. Le premier tome d’une série qui en comptera six.

Son auteur, Renaud Garreta, a dédicacé l’ouvrage sur le stand de Moto Magazine (n°51, hall 5/2) au salon de Paris, le 4 décembre. L’occasion de faire connaissance avec ce dessinateur, scénariste et grand fan de compétition, qui a beaucoup donné de lui-même pour que ce projet voit le jour.

Renaud, on sent en toi un grand passionné de la compétition moto. On se trompe ?

Non, je me passionne pour les grands prix depuis au moins vingt ans. J’en rate peu, je suis du genre à me lever la nuit pour regarder ceux qui se déroulent de l’autre côté de la planète. J’ai la chance de connaître Hervé Poncharal (manager du team Tech 3). Il m’a invité plusieurs fois à assister aux épreuves. J’ai pu m’immerger dans ce monde-là et l’observer de près. C’est encore plus impressionnant.

L’univers de la course est propice à la dramaturgie, à la fiction ?

A chaque fois que je regarde un GP, je trouve ça impressionnant. Il y a plein d’histoires à raconter. Regardez la saison démente qu’on vient de vivre en MotoGP avec l’éclosion de Marquez, la dernière course à Valence… Le premier tome de « Warm Up » est traité comme un polar, mais mon idée n’est pas de faire l’amalgame entre récit policier et moto. Cette approche est destinée à introduire le récit. Mon objectif est bien de réaliser une série sur la course moto.

Le premier tome baigne le lecteur dans deux épreuves sur route majeures. Et ensuite ?

Le début de l’histoire, c’est le Tourist Trophy, auquel j’ai eu la chance d’assister. Le héros court ensuite à Macao, où j’aimerais aller. Dans les prochains tomes, on suivra le championnat de France puis le Mondial Superbike, avant de s’immerger en Moto2 et en MotoGP.

Le dessin est hyperréaliste, presque cinématographique. Comment travailles tu ?

Je dessine sur la base de photos et de vidéos. Je réalise les planches en couleur directe, ce qui permet de travailler les couleurs et les volumes à fond. C’est cette technique qui rend un aspect photographique par moments.

Couleur directe, c’est-à-dire ?

On trace un dessin au crayon, que l’on colorie ensuite au feutre. On saute l’étape de l’encrage entre les deux. La plupart du temps, dans la BD, on dessine, on encre les dessins et on fait appel à un coloriste. Là, ce n’est pas le cas.

De même, tu n’as pas fait appel à un scénariste ?

J’avais ce projet dans la tête depuis longtemps et je le sentais bien, tout seul.

Certains dessinateurs affirment que la moto et son mouvement, incluant les postures du pilote, sont difficiles à reproduire. Qu’en penses-tu ?

C’est vrai. Mon problème en tant que dessinateur fut de transmettre la sensation de vitesse. Par définition, une BD est constituée d’images fixes. J’ai donc essayé de trouver des angles particuliers, mais aussi d’utiliser l’image subjective afin que le lecteur ait l’impression de se situer lui-même au guidon.

Tu signes chez un éditeur qu’on ne connaissait pas. C’est leur première BD chez Dust ?

En fait, l’éditeur, c’est moi ! J’ai fait toute ma carrière chez Dargaud et ce projet aurait aussi pu sortir avec eux. Mais comme j’y crois beaucoup, j’ai décidé de créer cette structure. J’avais mené une aventure similaire au début, pour publier ma première série, « Fox One ».

On sent ce projet très personnel pour toi…

Oui, même s’il n’a rien d’autobiographique. Mais j’aime bien cet univers de la moto. Et je me suis éclaté à réaliser ce premier tome !

Comment as-tu choisi les modèles de moto ? Tu as tes favorites ?

Je n’ai pas voulu mettre en avant une marque en particulier et, pour des questions de droits, je suis resté assez flou sur les carénages et les tenues. Mais les connaisseurs reconnaîtront les machines. Même les motos de route… Allez, on peut le dire, il y a deux Ducati qui font la course sur l’autoroute. J’aime particulièrement cette marque, j’en possède une ! Mais j’aurais très bien pu opter pour une Suzuki ou une Kawasaki.

Sur la couverture, au second plan, les fans auront reconnu Ben Spies sur Yamaha Tech 3. Un choix étrange à plusieurs titres…

Pour ce dessin, je me suis inspiré d’une photo de MotoGP, qui n’est pas le sujet de ce premier tome. Cela peut paraître étrange, mais il s’agit d’une image générique, elle symbolise un duel en course. Et je voulais une moto Tech 3, le team de Poncharal. Et j’aime bien la déco du casque de Ben Spies…

Dommage qu’il se soit arrêté !

Il a pris sa retraite après avoir joué de malchance ces dernières années. Certains affirment que Spies n’est pas sympa. Mais il reste un très grand champion de moto, et c’est vraiment dommage qu’il termine sa carrière comme ça, super jeune. Il s’est vraiment trop cassé.

Es-tu motard, toi-même ?

Je possède une Ducati 750 SS de 1991. J’ai pratiqué sur piste au Mans et à Carole. Maintenant, j’ai trois gamins et moins l’occasion d’en faire, mais je bichonne ma 750 SS depuis vingt ans. Au quotidien, je circule en scooter T-Max.

BD : « Warm Up, tome 1 D.O.A » par Renaud Garreta, Dust Editions ; 64 pages, 24 x 32 cm ; 14,99 €. A commander sur la boutique Motomag.com ; disponible sur le salon de Paris, hall 5/2 stand 51.

Bibliographie

Renaud Garreta, 49 ans, est illustrateur depuis 25 ans et fait de la BD depuis 15 ans.

  • 1996-2001 : série « Fox One », thriller aéronautique (auteur)
  • 2001 : série polar/espionnage « Insiders » (scénariste)
  • 2005 : « Tanguy et Laverdure, Opération Opium » et « Le maître de Benson Gate » (dessinateur)
  • 2012 : « Seul autour du monde » sur le Vendée Globe Challenge (dessinateur)
  • 2013 : « Warm Up, tome 1 D.O.A » (auteur)

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