Chap 26 : Etat des lieux

Hello les z’amis blogueurs et blogueuses

J’écris ce court billet sans le renfort de mes Muses, juste pour vous tenir au courant de l’avancée de ma petite z’organisation qui si elle me donne l’impression que je suis déjà parti, me tient devant l’écran de mon ordinateur bien trop de temps pour que je puisse en consacrer autant qu’auparavant à l’écriture de mes chapitres. Comme je vous le disais au tout début de cette aventure, vivre ou écrire, il faut parfois choisir. Vous ne m’en voudrez donc pas d’espacer quelque peu, voire de remettre à plus tard, la parution de mes délires digressifs et drolatiques.

A moins d’un mois et demi du départ, faisons ensemble le point de la situation et vous comprendrez que ne pas rimer n’est pas forcément chômer :

Les itinéraires des deux premiers jours sont dans le Tripy et les autres sont finalisés et en attente d’être insérés dans le machin jaune.

Tripy le machin jaune…

– Les ferrys Stockholm-Turku (traversée de nuit d’une durée de 11h30, 99€ une personne en cabine + 1 moto)  et Helsinki-Tallin (2heures de trajet 100€ 2 pers en placement libre + 1 moto) sont réservés (directement sur le site de Tallink Silja qui ne prend pas de frais de CB)

Enfin le morceau le plus dévoreur de temps : Le logement, car il faut étudier un minimum la topo de chaque ville étape pour faire son choix, tenir compte des possibilités de parking etc…

le 3 chez l’habitant (par airbnb.com) à Copenhague (47€ pour 1 personne)

le 4 chez l’habitant (par airbnb.com) à Stockholm (40€ pour 1 personne)

le 5 sur le Ferry Stockholm Turku

à partir du 6 nous sommes 2 (et je ne compte pas Miss the XJR)

le 6 hôtel à Tallin  (39€ pour une chambre twin)

le 7 Auberge de jeunesse… à Riga (38€ pour une chambre twin)

le 8 à Varsovie, hôtel Oki Doki (51€ pour une chambre twin)
qui m’a été conseillé par un journaliste du site motogen.pl en échange de mes photos

le 9 j’hésite encore… c’est l’étape d’Auschwitz…

le 10 hôtel à Prague (45€ pour une chambre twin)

le 11 je cherche du côté de la Grossglockner Hochalpenstrass.

le 12 idem du côté de Milan

le 13 idem vers les gorges du Verdon

le 14 Arrivée Toulouse (là, je sais où dormir…)

Voilà, je progresse, je progresse…

En tout cas, je remercie internet, airbnb, CB Visa, Venere, translate.google, etc.. pour toutes les facilités qu’ils procurent et le temps qu’ils font gagner… et aussi Frederic Jeorge (celui du fredeblog, de zarkass.com et des chouettes articles de voyage de motomag) pour ses bons conseils et pour la Grossglockner Hochalpenstrass dont il m’a appris l’existence.

Fin mai, il sera alors temps de se consacrer à Miss The XJR (révision + train de pneus + kit chaîne + plaquettes…) mais en attendant, nous aurons plusieurs occasions de déverrouiller nos vertèbres, de sortir les coucous du Devil dans les Pyrénées et peut-être, entre deux virées, ou entre deux corvées, de vous offrir à nouveau un peu de rêves  et de poésie, toujours les bienvenus en cette période de déclaration de nos revenus…

2 thoughts on “Chap 26 : Etat des lieux

  1. Auschwitz ! D’ici que Disneyland® Pologne n’y installe pas un train fantôme qui s’arrêterait à proximité des fours crématoires, juste à coté des nouvelles toilettes automatiques (la vessie du tourisme n’attends pas), il n y a qu’un pas ! Sans parler de l’étudiante de psycho qu’on retrouve nue comme un ver dans un des bâtiments pour travailler son chapitre « empathie »…

    Peut-être aller un peu plus loin… Opter pour un hôtel sympa et pas cher. Et si cela se trouve, dans la vieille table de chevet, on pourrait peut-être y trouver « Si c’est un homme »… Mais j’en doute…

    • Eh bien le Chat et moi, à Auschwitz, nous irons. Et cette étudiante pour lequel ton mépris semble vif, moi, elle m’émeut. Parce que se mettre ainsi à poil dans ce mémorial montre au moins qu’elle essaie de ressentir un peu de la souffrance des déportés et non, comme d’aucuns, sous prétexte de descendance, de se l’accaparer. Et quelles que soient ses façons de faire, elle vaudront toujours mieux que ces certitudes dans lesquelles certains choisissent de s’enferrer pour ne plus subir les affres du doute et qui les amènent à vouloir nous dicter la bonne manière de nous souvenir. Quant à Primo Levi, pourquoi l’enfermer dans une table de chevet ? Chez moi, il trône sur une étagère de la bibliothèque entre Anne Franck et Louis-Ferdinand Céline.

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