Mea culpa, Salzburg !

Quand ça me plaît, je le dis, quand ça me plaît pas – moins souvent parce que je suis plutôt un garçon facile – je le dis aussi, et quand ça ne m’a pas plu avant mais que ça me plaît à présent, je le dis itou, donc Salzburg, cette fois, c’était chouette ! En même temps, un blog, même quand c’est le mien, ça n’est pas la bible… faut pas avaler tout cru ce qui passe sur le net, n’est-ce pas… D’autant que, contrairement à notre première visite de juin 2013, la cité de Mozart n’est pas venue après un pélerinage au camp de Mauthausen… Dire que le week-end prochain on se rend à Auschwitz avant de visiter Cracovie… Gare les z’amis Polonais, préparez-vous au pire de ma mauvaise z’humeur… Faut pas vous formaliser, c’est contre personne, c’est juste de l’émotion, de la réaction à la bêtise humaine…

En arrière plan, le château de Neuschwanstein, quasi le même que Disney…mais en en vrai !

Notre pique-nique teuton…

Cette fois, la cité du sel (ben oui, ça vient de là « SALZ BOURG »), c’était la cerise sur le super gâteau que fut cette journée : 470 kms de bonheur sous un magnifique ciel bleu – même si, pour le veinard météorologique que je suis, c’est plutôt habituel… -, des routes viroleuses à souhait sinuant dans les paysages magnifiques de la Bavière et du Tyrol, des conducteurs allemands et, à un degré moindre, autrichiens, respectueux sans être trop à cheval comme ont pu l’être les p’tits suisses d’hier, bref, aujourd’hui, on a pu enquiller tranquille en se faisant plaisir et, du coup, on est arrivé tôt dans l’après-midi, ce qui nous permis de bien profiter de la très belle cité autrichienne.

Le centre historique de Salzburg, c’est très bÔ !

C’est là-aussi l’un des avantages de dormir chez l’habitant, celui-ci vous donne les bons tuyaux, les clefs pour ouvrir les bonnes portes des bonnes adresse dont le beer garden Augustiner Braustueberl n’est pas la moindre, un lieu extraordinaire dont le principe est plus ou moins le suivant :

Vous passez d’abord à la caisse y acheter un ticket pour une chope de 1l (la normale) ou d’un demi litre (pour les petits bras…), puis, sur une étagère, vous attrapez l’une des dites chopes qui se trouvent être en céramique et donc pesant un âne mort même quand elles sont vides, vous la rincez à l’un des énormes robinets qui sont là pour ça puis vous la tendez à un serveur pour qu’il la remplisse en tirant le breuvage exquis de l’un des gros fûts de bois. Ensuite vous allez vous asseoir au milieu des autres, soit à l’intérieur dans un réfectoire immense, soit à une terrasse grande comme une terrain de rugby (pas de foot car on est de Toulouse, n’est-ce pas…). Vous pouvez aussi monter à l’étage pour y acheter l’une des spécialités typiques du coin pour vous nourrir. C’est bon, copieux et très raisonnable (je parle du prix, parce que pour le reste, la raison n’a pas grand chose à voir ici…)

Le nom du plat, je me rappelle pas… le reste, c’est de la bière…

Et pour conclure, un selfie flou, parce qu’entre la fatigue et le reste, y’a pas de miracle…

Selfie flou après glouglou…

Demain : Wien

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