Les mots de la fin d’étape…

Arrivé à Paris, il semblait dans l’ordre des choses que Komar le banlieusard vienne me récupérer à l’arrivée. C’est lui qui a suivi et commenté le blog avec le plus d’ assiduité, à tel point qu’il a permis  aux lecteurs d’avoir un récit parallèle sur le même voyage quelques années plus tôt. Il est venu avec sa vieille Calif’ ; comme ça, la boucle des bicylindres à cardan, de la Béhème à l’Oural en finissant par la Guzzi , est enfin bouclée ! Mes gants Furygan on parfaitement joué leur rôle, de même que la combi Cover All de chez Béhème. Mon casque Nolan N71 s’est avéré confortable et polyvalent mais  un peu fragile aux joints  et aux charnières d’écran. Il vaut mieux emmener ces pièces en double dans les bagages pour pouvoir remplacer et attention aux petits ressorts, c’est terriblement flippant le risque de ne plus avoir d’écran étanche à cause de tout petit ressorts qui sautent  si facilement quand l’écran se décroche. Ma moto, toujours fidèle au poste malgré toutes ces années, a merdé du côté de la boîte de vitesse comme presque à chaque fois et a lâché de l’alternateur, mais à cent quatre vingt dix mille bornes, c’est peut-être normal…maintenant il va falloir un peu reprendre une vie normale et déjà préparer  tout ce qu’il faudra pour le chapitre suivant…

12 thoughts on “Les mots de la fin d’étape…

  1. Merci pour le récit suivi épisodiquement, mais bien suivi!
    Vivement les nouvelles aventures.
    Certains vont en vacances en hiver pour ne pas être au chaud, toi tu rentres pour profiter de la douceur de notre hiver francais.
    A bientot.

  2. Bravo pour cette première tranche de vie de motard, t’as pas perdu la main. Faudra nous prévenir quand ça reprend, on a hâte de voir les premiere gamelles sur glace. En attendant, insiste bien sur le pastaga, s’agit de pas perdre l’entrainement.. y’aura besoin d’antigel là-bas pour résister au froid.

    • Fallait voir la gueule des bagages au retour ! Le sac étanche plus étanche du tout, tout bouiné par les gabelous qui l’ont explosé façon puzzle !
      Mais du coup, avec ses sacs plastiques pour contenir le désastre, le camarade Ptiliouk ressemblait vraiment à un moujik !
      Deux mois de routes russes, ça te marque un bonhomme !

      Bon, yapuka attendre la suite et le foie de l’ami Ptiluc va pouvoir prendre des vacances !

      Salut à tous,

      Komar le banlieusard

      • Ce Komar, voilà t’y pas qu’il conclut son récit parallèle sur mon blog à moi! mais c’est normal puisqu’il parait que dans quelques mois, il fera partie des premiers essais sur glace Sibériennes!

  3. Bravo pour cette nouvelle aventure , tes récits et tes croquis sont toujours aussi sympas , et cela donne toujours envie de fermer la porte de chez soi et tailler la route .
    Merci

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