mécanique enfumée…

Le jour suivant sera consacré aux mécaniques. Il y a toujours des bouts de ferraille à ressouder, des trucs à régler, je découvre que le cliquetis que je trimballe avec moi depuis l’épisode aquatique est encore provoqué par ce qui m’avait pourri le dernier épisode Africain, un des goujons qui tient le cylindre de gauche redevenu défaillant, il se desserre petit à petit ce qui change le réglage  au jeu des culbuteurs… J’essaye de rattraper le coup, on verra combien de temps ça tiendra, mais je connais déjà la faiblesse chronique qui viendra pourrir la suite du voyage ; il en faut toujours une, ça entretient une sorte d’indispensable suspense par lequel on ne sait jamais où et quand le voyage s’arrêtera…  En attendant, l’attente va continuer quelques jours. Aïbek a pris un peu de vacance, il va pouvoir s’occuper de nous. Je ne sais pas si c’est une excellente chose, il a déjà commencé hier en nous faisant découvrir qu’il n’y a pas que les légumes et les fruits qui profitent de ce climat exceptionnel, certaines plantes qui font rire ou dormir atteignent ici une qualité dont seuls quelques rescapés des golden sixties peuvent encore témoigner et puis moi, depuis peu, mais ça reste un secret…

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