taxi…

En Ouzbekistan, la circulation routière  est légèrement plus agitée que chez les voisins, surtout en ce qui concerne les innombrables minibus Daewoo qui s’agitent un peu dans tous les sens comme des cloportes quand on soulève une pierre à l’improviste. Les routes, dont les deux voies sont toujours séparées par un muret en béton, laissent régulièrement un passage pour pouvoir faire demi tour et ces passages-là, c’est du gratin pour les accidents. Ils sont bien sûr, situés sur la voie de gauche, celle où on roule à fond la caisse et débouchent évidemment, sur l’autre voie de gauche sans qu’il y ait vraiment un espace prévue pour…quand on y ajoute  les piétons, les charrettes tirées par des ânes et puis bien sûr, les bus, les taxis et les semi-remorques,  ces infrastructures insensées provoquent de sacrées pagailles et le motocyclistes perdus au milieu de la circulation a tout intérêt à garder tous ses sens en éveil…

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