pause technique

Le lendemain fut essentiellement mécanique…on commence par le pneu…heureusement, malgré les kilomètres en version raplatie, la chambre et le pneu ont résisté…je démonte ensuite le haut du cylindre gauche, celui au goujon facétieux…là je trouve des trucs cassés, pas grand chose, mais ça ne trouve nulle part dans le pays…j’arrive à bricoler en intervertissant des pièces, en les montant dans l’autre sens puis en ajoutant des rondelles…impossible de savoir si ça tiendra, mais il fallait bien tenter quelque chose, sinon j’étais bon pour finir ma vie avec la grosse taulière. J’ai déjà pu faire quelques kilomètres sans bruits suspects. Je suis allé de la périphérie au centre ville, c’est une sorte de record. J’avais plus que jamais besoin de connexion pour jalonner la suite du parcours de point de secours. La solidarité des motards russes n’a pas de limites et même au delà de leurs frontières, ils ne m’abandonneront pas.

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