Etape suivante


ptiluc1

Chargement de la moto et adieux à tout le petit monde d’Omolon, avant le démarrage du convoi de trois camions pour la longue route…C’est presque une routine mais une routine qui pince un peu le cœur.

Quand on voyage à vingt ans, ou à quarante, on se dit toujours qu’on pourra revenir un jour… ça m’est arrivé parfois, des retrouvailles vingt ans après.

Mais là, avec l’âge qui avance, le monde qui part en couille, comment imaginer revenir un jour à Omolon.

Je leur dis, à ces amis éphémères, que si un jour ils visitent l’Europe, ma maison leur est grande ouverte, certains sont même venus.

Mais là…