Déjà 3 ans !

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Quasi 3 ans d’absence sur le blog ! Je n’ai pas arrêté la moto, loin de là, mais les aléas de la vie ont fait que je roule moins et surtout que j’ai eu 3 années un peu spéciales : changement de travail, achat d’une maison avec de nombreux travaux, accident de la vie qui a bouleversé notre quotidien quelques mois…

Et enfin le dernier week end d’août 2021, une nouvelle balade à moto !

Mr roule toujours en CB1300 quant à moi… Rien à faire, Choupette me manquait trop, donc après un peu plus de 2 années en CB1300 également, me voici de retour en GSXR1000. Ce ne sera que ma 4e !

Voici donc Choupette 4e, après une bleue et blanche K3, une bleue et blanche K7, une noire et or K7, voici une blanche et grise K7 !Allez, je regarde les articles que j’avais laissé en suspens et je vous prépare un sympathique itinéraire en Morvan qui nous emmènera au point culminant !

Quelques mois d’absence, changement de monture !

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De grands changements ces derniers mois m’ont fait un peut décrocher du blog, mais c’est pour mieux revenir !

J’ai pas mal d’itinéraires en stock à vous partager, des astuces…

Un gros changement dans ma vie de motarde est intervenue en juillet puisque j’ai changé de monture… Mais je voulais que Choupette (mon GXSR 1000) soit celle qui m’accompagne à la mairie pour notre mariage en juin, avec comme compagne de route le Seven Fifty de mon mari désormais. Ce fut une superbe journée, nos motos encadrées par celles de nos amis !

Cet évènement passé, Choupette est partie continuer sa vie dans l’ouest de la France. Loin de moi, ce qui est une très bonne chose, car cette moto aura été celle que j’ai gardée le plus longtemps (5 ans) et avec qui j’aurais vécu beaucoup de choses !

Mais l’achat du CB1300 de l’Homme l’an passé devait aussi me servir de test, cette moto me faisant de l’oeil depuis de nombreuses années. Le bilan au bout d’un an aura été qu’elle convient à mes besoins et donc après 2 semaines à être piétonne, je suis allée chercher ma nouvelle monture à Cambrai, après qu’un copain de la FFMC ait pu aller la voir et me confirmer son état.

Me voici donc propriétaire d’un CB1300F avec les flancs, de 2006 en livrée rouge et blanche parce qu’elle reste moderne dans ces coloris là.

Alors… c’est sûr que ce n’est plus la même légèreté ni maniabilité… Mais mes poignets (opérés les 2 des canaux carpiens) me remercient, mon dos également… et même si c’est moche, il faut avouer qu’un top case… c’est bien pratique !

Donc me voici de retour, en CB1300, avec quelques articles à itinéraires à venir , ainsi qu’un billet dans la lignée de Voyager seule à moto  ou Mécanique version fille !

Grande Virée de l’été – l’aller

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Voici l’heure de la rentrée… Quoi de mieux que de retracer nos vacances à moto pour voyager encore un peu ?

Le début des nôtres a été un peu chamboulé, du coup nous sommes partis quelques jours plus tard que prévu, et de Belfort. Le jour du départ, la pluie s’est invitée ! Devant cesser en début d’après midi, nous avons fait le choix de partir à ce moment là et réserver une chambre d’hôtes à mi-chemin.

Une fois les motos chargées (article à venir spécifiquement sur le bonheur de voyager à 2 avec 2 motos), cap sur l’Isère.

Notre itinéraire du 1er jour : c’est parti pour 330 kms !

On commence avec un peu d’autoroute, entre Belfort et Pont de Roide. L’idée est de pouvoir ensuite rejoindre Besançon par la nationale. Ayant décollé à 14h et voulant arriver vers les 19h, on va au plus court ! A l’Isle sur le Doubs, des travaux détournent notre route. Ce fut finalement une bonne chose ! Car même si cela a rallongé de près de 3/4h notre trajet, les routes étaient très agréables, propres et peu fréquentées. Nous empruntons la D31 en passant par Sancey-le-grand, Bouclans pour passer près de Besançon en évitant sa traversée. Puis N83 jusque Lons-le-Saunier, D1083 jusque Pont d’Ain et enfin la D1075 arrivés dans le Bugey.

Le temps sera resté menaçant tout le trajet et nous aurons la pluie pour les 10 derniers kilomètres. Les Abrets se présentent et notre hébergement pour la nuit également !

Hébergement

Chez Alain et Florentine, à Charancieu (38). Relais Motards. Accueillis comme à la maison, un abri pour les motos, au calme dans les hauteurs. Nous avons passé une très bonne soirée avec nos hôtes et les autres voyageurs. La vue du matin est très agréable et reposante.

Vue du matin

Le lendemain matin après un bon petit déjeuner, nous disons aurevoir à nos hôtes avant de se remettre en route. Le beau temps est de retour, mais vu la pluie des derniers jours, nous préférons ne pas passer sur le haut du Vercors. Il restera d’ailleurs sous les nuages tout le long de notre passage.

Notre itinéraire du jour : c’est parti pour 280 kms !

Nous continuons sur la D1075 jusque Grenoble où nous avons un peu tourné en rond. Les aléas de ne pas utiliser de GPS !Un bout d’autoroute pour se sortir de là jusqu’à Vif, puis direction Monestier de Clermont en récupérant la D1075. Un arrêt à une pompe à essence juste avant Clelles. Ne pas hésiter à s’y arrêter , l’accueil pour les motards est parfait et une petite terrasse avec vue sur le Vercors vaut le coup d’oeil.

Nous suivons la D1075 jusqu’à Serres où je fais découvrir à mon compagnon le petit resto où j’ai l’habitude de m’arrêter ( Brasserie du Commerce) son avantage étant de servir assez tard et des sandwiches à tout heure de la journée.Nous continuons sur la D1075 pour, à Laragne-Montéglin, prendre la D942 pour rejoindre les Gorges de la Méouge. Nous ne pourrons pas vraiment nous arrêter pour quelques clichés. Les Gorges sont malheureusement pleines de touristes et camping car. A certains passages, les croiser devient assez compliqué. Il faut rester sur ses gardes en permanence…

Sortis des Gorges, nous prenons de la hauteur pour rejoindre Séderon, puis prendre le Col de l’Homme mort pour rejoindre Sault. Le Mistral et la route gravillonneuse nous feront perdre du temps, mais la vue du Mont Ventoux nous confirme que nous sommes bientôt arrivés !

A Sault, la fatigue se fait sentir et l’expérience des Gorges de la Méouge ne nous encouragent pas à prendre les Gorges de la Nesque. Nous passons alors par le col des Abeilles pour rejoindre Carpentras. Encore 30 kilomètres et nous voici arrivés sur notre lieu de villégiature !

Notre surprise pour cette descente aura quand même été le fait que les routes n’auront pas trop été encombrées de touristes et que le temps aura été clément, peu de pluie et pas trop de chaleur. Mon compagnon confirme que le CB1300 est très agréable pour les longs trajets, même chargé.

Et c’est parti pour 15 jours de farniente en famille ! Sur place la chaleur est telle que nous ne prendrons les motos que très rarement. Nous ferons une virée au Ventoux… pour aller chercher la fraîcheur, relative vu qu’il fera quand même 28° au sommet…

Balade à moto : découvrir une nouvelle région

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Pas d’article sur le blog ne veut pas dire que je ne roule pas. Presqu’au contraire !

La seule chose, c’est que je fais beaucoup de petites balades (entre 80 et 150 km) dans ma nouvelle région, qui est l’Auxois, en Haute Côte d’Or et en bordure de Morvan. Elles ne méritent pas toujours un article. Dans 10 jours par contre, c’est première grosse virée de l’année, 800 à 900 km de prévus 🙂

Je profite aussi d’avoir du temps et quelque part, pas d’autre moyen de locomotion que la moto pour me balader. Et comme la région est riche de lieux à voir…

Statue de Vercingétorix sur le site d’Alésia

Maintenant que j’ai bien repéré les « grandes » agglos près de chez moi, je mets en œuvre ma philosophie habituelle : prendre la moto, partir dans une direction, avec ou sans point de chute et aller au gré du vent. Je ne prends même plus la carte avec moi. En ce moment, les champs sont pleins de colza, c’est beau !

Mon problème c’est qu’au départ je me disais « je vais m’orienter vers les châteaux ». Mais la région en pullule ! Idem pour les points d’eau.

Alors, je fais pas mal de boucles un peu en « 8 » mais ça me permet de découvrir des petites routes et de constater que du moment où l’on s’éloigne des axes principaux qui ne sont quasi que de grands bouts droits, on trouve de quoi s’amuser.

exemple d’une boucle au gré des panneaux ^_^

Mon plaisir aussi en ce moment, c’est d’emmener la moto de mon compagnon, une Seven Fifty, le midi sur son lieu de travail (il part en voiture). Et le soir venir le récupérer à la sortie, et partir pour un viron de 50 à 100 km selon les envies. Comme ça je profite aussi de la seconde monture à la maison !

avec Mémère, Seven Fifty

Le printemps approche, état des lieux sur la moto !

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Dans ma région, l’hiver aura été difficile niveau températures, mais par chance quasi pas de neige. Ce qui me change de ma précédente localisation !

Par contre, même si je suis toujours un peu sortie, le froid pique vite et les routes sont très mauvaises. Entre les gravillons, les raccords de bitume faits de « je te jette ça là » et les nombreux agriculteurs, il faut vraiment envie de faire un tour de moto pour sortir.

Le mois de février aura été relativement clément, les balades plaisir ont pu reprendre, sous réserve de bien choisir son moment quand même.

Le mois de mars devrait être plus chargé niveau roulage, il est donc temps de faire le point sur les machines avant que la saison ne redémarre vraiment. L’état des lieux a été fait. Pour la Seven ce sera un câble d’embrayage à changer rapidement sous peine qu’il se détache totalement et pour la Gex, un train de pneus.

Comme tout début de saison, on fait : vérification des pneus et pression. Vérification du kit chaine et tension. Vérification des niveaux et ajustements. Un bon nettoyage/décrassage. Vérification des plaquettes.

Pour Choupette nouveauté à partir de cette année, l’entretien « classique » sera fait maison. Parce qu’elle n’est plus sous garantie, que mon compagnon sait faire, et aussi que j’ai beaucoup de mal à aller ailleurs que chez mon concessionnaire alsacien, chez qui je vais depuis près de 10 ans. Du coup, petit coup de fil au mécano pour confirmer le plan d’entretien et les différentes choses à faire. (si ça ce n’est pas être commerçant… Merci les Voss !). Changement des chaussettes en priorité, devant faire un long trajet les11/12 mars et vidange à la suite.

Je profite aussi du début de saison pour mettre à jour mon équipement et ma bagagerie. J’ai notamment un pantalon de cuir à réparer , tout le cuir à graisser et la bagagerie à nettoyer.

Remettre à jour ma « carte en cas d’urgence » que je m’étais faite l’année passée pour mes grands voyages. Et commencer à regarder les balades motos !

Bonne reprise de la moto à tous !

24.09.2016 Le Morvan

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Etant désormais toute proche du Morvan que je connais déjà bien grâce à mes amis motards du RCDB Team, j’ai emmené avec plaisir Cédric sur les routes pour une balade d’environ 200 kms. Voilà l’itinéraire.

Comme toujours, je pars avec la carte dans le petit bagster et les grandes lignes en tête. Le but était d’aller se poser manger un bout au Lac des Settons, puis descendre dans le Sud Morvan, à Poil.

Arrivés aux Settons, nous avons profité d’un magnifique soleil de début d’automne pour nous poser au bord et nous nous sommes faits violemment attaqués par Morphée pour une petite sieste au rythme des clapotis.

Nous avons pris le temps de prendre le temps, ce qui est un luxe non négligeable puis on décide d’aller manger un bout dans un resto devant lequel sont très souvent garées beaucoup de motos. Bien nous en a pris le tarif étant très correct, les assiettes garnies et bonnes et chose très agréable, les patrons très souriants !Il s’agit du restaurant Les Terrasses (clic !)

Nous reprenons la route direction Poil . Le Morvan et ses routes…. gravillonneuses…. Nous aurons beaucoup de plaques de ces ptites bêtes sous nos roues, mais dans l’ensemble j’ai trouvé les routes plus propres qu’habituellement.

Arrivés dans le village concerné, évidemment nous ne pouvons nous empêcher… Etre à Poil dans le Morvan, ça s’immortalise !

L’après midi étant bien avancée, et les routes par là trop gravillonneuses, j’écourte le trajet initial. On prendra un peu de nationale jusqu’à Autun, avant de bifurquer à nouveau dans le Morvan direction Saulieu.

Conseils pour ceux qui ne connaissent pas le Morvan :pensez à faire le plein dès que vous voyez une station, celles-ci sont rares lorsque vous êtes dans le Parc ; gaffe aux bestioles présentes même en journée et au revêtement routier qui est très souvent tape-cul et gravillonneux….

14/09/2016 : 2 balades à la fraîche, entre Auxois et Morvan

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1er jour de vacances…. Réveillée 6h30 par le réveil de mon compagnon, Cédric, qui part au travail, je décide de partir en même temps et aller poser mes roues dans les alentours, que je ne connais encore pas trop.

Je pars déjà de façon à prendre la moto devant un lever de soleil… et je pars nez au vent en fonction des panneaux (port, chateau, Alésia, abbaye….)

Bilan, 110 kms et rentrée pour le petit déjeuner !

Ne connaissant pas encore trop le coin, j’ai eu une partie assez longue (50/60 kms je pense) sur des routes départementales assez larges, mais le reste j’ai pu trouver quelques virages, denrée pour le moment assez rare ici. C’est pour cela qu’après l’abbaye, apercevant un panneau « virages sur 2 kms » avec une route qui s’enfonce dans les bois, je n’ai pas hésité !

Itinéraire du matin : par ici

Le soir, à la sortie du taf de Monsieur, nous décidons de prendre les motos. Direction le Morvan. En fait, Précy sous thil, c’est le premier village dans le Morvan… et il ne connait quasi pas ce coin hautement réputé chez les motards pourtant. Vu qu’il est déjà 19h, que l’orage menace, nous repérons un lac pas très loin, celui de St Agnan, et décidons de nous y rendre.

un bonheur de retrouver les routes du Morvan mais beaucoup moins…. ses gravillons. C’est un soucis tout de même régulier ! Nous partons par des petites routes, y compris des chemins communaux. Pas grave, les motos suivent !

Nous rentrons de nuit, avec l’orage qui nous suit et qui éclatera une heure après notre retour. On gardera une partie en tête pour une des virées prochaines à venir.

itinéraire du soir : ici

16.09.2011 : Les Grandes Alpes jour 4

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itinéraire, par là Environ 193 kilomètres
Dernier petit déjeuner en hôtel, nous reprenons les motos direction Velleron. Nous allons enfin pouvoir faire les gorges du Verdon ! Depuis le temps que nous essayons… Mais depuis Velleron, à chaque fois nous avons été empéchés ou par la trop grosse chaleur (été 2009) ou par les orages (été 2011)… Donc cette fois ci, on y va !
On a regardé la veille avec Christian afin qu’il puisse nous donner le coin le plus joli, et pour lui c’est le côté rive gauche, côté Var. L’asphalte est aussi le plus propre.
Marie-France de l’hôtel nous conseille de faire un petit tour de 3 kms pour voir Bargème, le village le plus haut du Var qui, effectivement est superbe !
Alors c’est parti !
Je suis surprise car en fait, contrairement à la Nesque par exemple, nous sommes assez peu en bord de route, il y a beaucoup de routes dans la forêt. Par contre les panoramas sont superbes !! les Gorges sont vraiment impressionnantes.
Un peu plus de monde que dans les Alpes, et surtout plus chaud…. Bien que nous culminons par endroits à un peu plus de 1100m, les cuirs commencent à devenir collants….
Après les Gorges, connaissant le coin et voulant profiter de la piscine, nous tirons tout droit, Céreste, Apt, L’isle et Velleron !

15.09.2011 : Les Grandes Alpes jour 3

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de 2812 à 0 m d’altitude….

L’itinéraire par ici Environ 302 kilomètres

 En ce début de 3e jour, les courbatures sont moins présentes que la veille au matin. Le temps s’avère encore une fois superbe. Nous prenons la direction de la route de la Bonnette. 48 kilomètres en tout et ce, sur la plus haute route d’Europe. Elle culmine à 2812 m d’altitude ! Paysages somptueux, semi désertiques parfois, et la rencontre avec les Marmottes !
Un peu dommage car nous ferons une partie de la montée avec le soleil en pleine face. La route est très propre et vu qu’elle reste beaucoup à la même hauteur, il n’y a pas cette sensation de vide que l’on peut ressentir dans d’autres cols.
Pour la minute culturelle, il s’agit aussi de la fin de la ligne Maginot… D’où un ancien fort et d’anciens casernements (une impression de village fantôme, car la route passe à travers)
Après cette route en hauteur (près de 2h tout de même) et que Néo soit allé jusqu’à la cîme, nous repartons direction la vallée de la Tinée, qui nous emmènera vers d’autres cols moins hauts, donc la chaleur commence à se faire un peu plus sentir.
Nous passerons la Colmiane (ou Col de St Martin, 1500 m) où nous découvrons une station de ski toute mimi, pas très grande mais agréable. La route de ce col fait partie d’une des moins agréables du parcours, le revêtement n’étant pas en super état.
Direction ensuite le col du Turini (1607m)… Sans nul doute le plus cahotique et le plus difficile à passer. Lacets sur lacets, avec en plus une bétonnière passée peu de temps avant nous qui a laissé de magnifiques gerbes de béton dans les trajectoires… J’avoue que moi ce fut une purge et le plus difficile à passer !
Là nous sommes au bout de la France, d’un côté nous descendons Italie et de l’autre nous restons en France !

photos tirées du net pour vous donner un aperçu des 38 kilomètres… je crois qu’on a dû passer 2 fois la 2e vitesse…
 Allez, direction Sospel, nous passerons le dernier col de la route des Grandes Alpes (le Castillon 706 m) et nous arrivons à notre destination finale pour cette partie de la balade : Menton et la Mer !
Après 2 jours sans quasi personne sur les routes, l’arrivée à Menton est une vraie torture ! Nous ne prenons pas le temps de faire trempette, on ne veut que se sauver au plus vite d’ici ! Du coup, on choppe l’autoroute (après que néo, d’ailleurs toujours pas remis, ait halluciné sur le prix d’un lavage de voiture aux rouleaux à … 30€…!) Je vois ainsi pour la première fois et de haut, Monaco avec des paquebots luxueux… Nous prenons l’autoroute pour gagner du temps jusque Grasse.
Nous ne profiterons qu’à moitié de la route Napoléon qui nous emmène jusqu’à notre hébergement du soir, la fatigue se faisant sentir.
Nous arrivons vers 19h chez nos hôtes, relais motard. Accueil très sympa des tenanciers motards les 2, calme… et rencontre avec  Christian, autre motard de passage. Au fil de la discussion, nous nous rendons compte qu’il est le webmestre d’un site que nous utilisons pour préparer nos virées dans le Sud, motobalade84. Bref un moment bien agréable, un hôtel déserté, mais surtout très agréable.
Maintenant après un bon repas concocté maison, avec des spécialités comme la salade en kit, nous partons nous coucher, pour être en forme pour notre dernière journée de découverte le lendemain.
Hôtel-restaurant : Le Lachens, à La Bastide, juste au pied des gorges. Grand garage moto, matériel de graissage sur place si besoin. Le couple tenant l’hôtel est motard et peut vous donner des idées d’itinéraires. la cuisine est traditionnelle et faite maison, ce qui est plus qu’appréciable ! les chambres sont spacieuses et le calme est agréable ! http://www.hoteldulachens.com/