Un peu de gymnastique avec le gros trail Triumph1200…

Bon, faut pas déconner, je suis là pour un essai alors j’essaye. Le béquillage sur la centrale, c’est du velours, relever la bête tout seul après l’avoir couchée juste pour le test, on y arrive sans trop de problème, même avec une carrure de pêcheur à la ligne, manier à l’arrêt, arrimer les bagages, tout baigne, même si le porte bagage un peu étroit semble surtout prévu pour accrocher une brosse à dents ou un top case. J’ai déjà parlé de ce que la gamme Tiger avait gagné en maniabilité grâce à cette prouesse inexplicable d’un centre de gravité placé bas alors que le trois-cylindres semble naturellement  devoir porter le poids au niveau des genoux. Cette prouesse d’ingénieur, dont personne n’a encore réussi à m’expliquer le secret, doublée d’un  impeccable rayon de braquage, fait de cette machine une rivale parfaite de l’inébranlable GS Béhème.

One thought on “Un peu de gymnastique avec le gros trail Triumph1200…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*