Pendant mon séjour à Budapest, j’ai appris à dire OUI et NON et puis aussi merci… igen, nem (comme la bouffe chinoise) et puis kesenem mais sans insister sur les E, genre K ‘SNM…maintenant, ça ne me sert plus à rien puisque le Hongrois n’est parlé qu’en Hongrie…Les petites filles de Gabor m’ont aussi appris « ninj-bounyo », ça veut dire « pas de baston »…il le dit tout le temps parce qu’elles se chamaillent en permanence ces deux chipies. Mais je ne sais pas vraiment si ça veut dire « no fight » ou plutôt « make love, not war », la nuance m’a échappé…Maintenant, je suis à KNIB…ça ne dit pas grand chose sauf quand on sait que le N c’est un I et le B un V…du coup ça donne Kiyv, mieux connu chez les Fransouskis sous le nom de Kiev. L’autoroute, c’est très pratique pour réviser ses alphabets puisque les panneaux utilisent les deux…Je peux ainsi vérifier que le C c’est le S, que le Y c’est le U et le P le R… il ya aussi le petit candélabre pour le J et le petit barbecue pour le D…putain, c’est pas gagné, les amis!
Si l’alphabet est ton seul problème à Kiev, alors c’est cool… doigts croisés pour toi…
Da ! Karacho, tovaritch : Gavarit po rouski, eta nié trundna !
(oui ! C’est bien, camarade : parler en russe, c’est pas si difficile)
Bonne route !