J’ai suivi la grosse bagnole de Maxim jusqu’à la maison dans l’Altaï où il m’avait déjà amené l’année dernière. Plus on s’enfonce dans les collines, plus les routes se déglinguent. Une fois posé, j’ai regardé comment la moto résistait à sa remise en route sur chemin tout pourri et puis on est tous allés chez Sacha, le professeur d’aïkido qui s’est retiré ici. Il fallait fêter mon retour, la fin de l’été, le ciel étoilé…alors on a bu, mangé du poisson cru et des brochettes de cerf et puis on a bu encore… Le lendemain matin, je me suis juste dit que plus jamais ça ; mais bon, on sait ce que c’est, parfois, c’est difficile de refuser. Ici, la courtoisie demande essentiellement un foie en bon état et quelques aspirines pour le lendemain…
Ben voilà, l’immersion commence ! 🙂