Quand le bâtiment va…

dernière escale avant la Turquie

Istanbul

istanbul

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Ce n’est peut être pas très flatteur pour la Turquie, mais enfin il y a un truc qui nous a surpris tout au long de la longue traversée (oui, c’est très grand!) du pays, ce sont les innombrables chantiers. Ainsi, d’Istanbul à Dogubayazit en passant par la Cappadoce, les mêmes bâtiments sont reproduits. Terminés et habités, terminés mais vides, ou encore en construction, le modèle et les couleurs sont identiques. L’architecte a dû faire fortune ! Une gestion de l’urbanisme à la façon soviétique avec des bâtiments sans doute fabriqués à la chaine, puis déposés là par hélicoptère… Quel que soit le cadre naturel, les blocs orange, marron, jaune, rouge prennent possession de l’espace.

Bon, notez bien qu’il y a des degrés dans cette prolifération. A ce jeu, Ankara remporte sans doute la palme. La capitale est posée au fond d’une cuvette entourée de collines. J’étais passé par là il y a des années et j’avais déjà trouvé la ville immense mais depuis, chaque relief s’est retrouvé colonisé par les-dits bâtiments. Une épidémie en quelques sortes. Au point de se demander si la population s’est subitement retrouvée multipliée par 1000 ? Sinon, à quoi peuvent bien servir toutes ces constructions neuves ?

bâtiment turc

bâtiment turc

dur la pluie

One thought on “Quand le bâtiment va…

  1. Dur, c’était marqué sur la panneau. Pour une fois qu’on peut se fier au panneau.
    Sinon, lors d’un voyage en Albanie, j’avais déjà remarqué à l’intérieur du pays, que l’architecte Turc avait du faire ses classes dans le coin.

    Bonne route.

    A+

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