Tabriz, la première grande ville, est à environ 300 km.
« Where are you from ? » ; « France ? Paris. Tour Eiffel » puis, le pouce levé accompagné d’un grand sourire en guise d’approbation. Coups de klaxon, appels de phares, signes de la main, les femmes saluent Fred avec un sourire et le pouce levé, ….
A notre première halte sur le bord de la route, à l’ombre de quelques arbres, un camionneur est également en pause. Il fait (très) chaud et Fred va demander un peu d’eau au routier qui s’empresse de lui tendre un verre avec un sourire. Cinq minutes plus tard, celui-ci s’approche de nous en silence et nous tend deux verres de thé avant de s’éloigner.
Plus loin, même situation, un père de famille vient vers nous avec une assiette pleine d’abricots. Et toujours un grand sourire.
Une autre fois, c’est un pompiste qui nous propose deux verre d’eau fraiche, puis nous encourage à le suivre vers son bureau et à prendre place pour nous reposer dans ce local climatisé.
Une seule explication : il y a erreur, on nous prend pour la caravane du Tour de France. Sinon, je ne comprends pas !