Le redoux de l’arrière pays n’était pas si redoux que ça. J’ai traversé les plateaux, du Larzac jusqu’au Gévaudan sous un ciel plombé qui dégueulait un crachin triste, les virages humides entre les collines mangées par des bancs de nuages noirs m’ont amené jusqu’au pied de la Croix du Fau…En haut, il a dû neiger, on va bientôt pouvoir chausser les skis sur la moto…
Salut P’tiluc, attention dans le Gévaudan que la bête ne s’invite pas sur ta selle comme le sanglier Nîmois qui te causa tant d’émoi…
Eric.