Impossible de résister, allez faire un tour chez Paton… Des motos faites à l’unité, pour la piste et la route..J’en veux une!
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Impossible de résister, allez faire un tour chez Paton… Des motos faites à l’unité, pour la piste et la route..J’en veux une!
Depuis quelques temps, la Mairie de Paris tente d’interdire la circulation des deux-roues qu’elle juge trop vieux et qui seraient à l’origine de la pollution de Paris.La vérité est ailleurs…Il faut quand même savoir que la pollution au niveau mondial de tous les véhicules roulants confondus ne représente que 12 % de la pollution totale de la planète et quant à la pollution parisienne, les deux-roues ne représentent au plus qu’1 %de celle-ci !Personne n’est évidemment surpris du mensonge de nos politiciens qui incarnent, eux, parfaitement l’obsolescence programmée…Au milieu de ce marasme, une lueur d’espoir apparaît dans le bulletin municipal de la Mairie de Paris, en date du 1er juillet 2016, en page 2168.En effet, les véhicules de collection qui, comme tout le monde en a bien conscience, ne polluent pas, ont le droit de rouler et ne sont pas concernés par cette loi…Il semble donc opportun d’ouvrir des garages spécialisés dans les véhicules de collection puisque c’est le moyen de retrouver notre liberté de rouler.Alors si vous avez envie de vous investir dans un tel projet, quel que soit son aspect, commercial, financier, technique …que sais-je encore, contactez-moi.
Un scooter fait du bruit…une belle moto, de la musique !
Certains artisans-orfèvres composent des échappements sur mesure qui optimisent les performances des moteurs et leur redonnent de la voix. En ce qui concerne le deux-temps notamment, les solutions efficaces ne furent trouvées réellement qu’au cours des années 70 car la complexité des ondes et des pressions régnant à l’intérieur d’un pot d’échappement est d’une telle complexité qu’il a fallu l’aide d’ingénieurs en dynamique des fluides pour en venir à bout. Aujourd’hui, il est bien sûr possible de trouver la procédure pour en fabriquer, mais passer de la théorie à la pratique, il y a un abîme que je ne franchirai pas …Laissons faire les spécialistes et nos motos marcheront mieux !
Alors si par hasard vous savez qui fabrique des jolis pots comme celui de cette Jawa 350 deux-temps…faites-le moi savoir…merci.
Le lithium arrive comme une solution miracle dans les mains de nos industriels qui, une fois encore, vont transformer son exploitation en catastrophe écologique… et la passer sous silence.
Explication :
L’extraction peut se faire de deux manières.
La première, en souterrain, par concassage, ce qui ne pose pas de gros souci sauf pour les employés qui respirent des poussières toxiques à longueur de journée.
La deuxième, par forage, est bien plus problématique.
Il faut injecter dans le sol des quantités d’eau astronomiques, pompées en général dans des rivières ou lacs dont l’écosystème déjà très fragile est gravement menacé par ce procédé.
Résultat, non seulement l’eau vient à manquer, mais celle qui a servi à l’extraction est rejetée dans la nature sans traitement et vient polluer à son tour nappes phréatiques, rivières et lacs, mettant en danger les populations locales qui souffrent de contamination provoquant maladies, allergies et cancers en grand nombre.C’est le cas en Bolivie, en Argentine et au Chili, pays qui ont donné le droit aux multinationales étrangères, canadiennes, américaines, australiennes, chinoises et françaises de forer leur sol.
Ensuite, il faut extraire le fameux lithium des sels ou de la roche.
Cette préparation se fait exclusivement par électrolyse du chlorure de lithium fondu, additionné de chlorure de potassium.
Et là, c’est aussi la catastrophe car l’électrolyse demande une source électrique colossale. Donc nucléaire. Ce qui fait du lithium un polluant nucléaire mais rejette aussi dans l’atmosphère une quantité phénoménale de Co2 !!! Il faut effectuer 100 000 km
avec un véhicule électrique pour commencer à être moins polluant qu’avec un véhicule à essence… -source ADEME–
Mais ce n’est pas fini.
En effet, le recyclage est aussi problématique car pour l’instant quasi inexistant. Même pas 5 % des batteries au lithium sont recyclées. Le recyclage de celui-ci nécessite d’ailleurs autant d’électricité que son extraction puisqu’il faut le séparer des autres éléments (graphite, cobalt, manganèse…) présents dans la batterie.Alors, en fin de vie, les batteries au lithium finissent dans des incinérateurs avec les gaz et vapeurs toxiques s’échappant des cheminées.
Non, le véhicule électrique n’est pas une solution!
Article R431-10 du code de la route.
Hors agglomération, le long des routes pavées ou des routes en état de réfection, la circulation des cycles et cyclomoteurs à deux roues sans remorque ni side-car, est autorisée sur les trottoirs et contre-allées affectées aux piétons.
Dans ce cas, les conducteurs sont tenus de circuler à l’allure du pas à la rencontre des piétons et de réduire leur vitesse au droit des habitations.
Contrairement à ce que l’on peut entendre en général aujourd’hui, un moteur neuf a bien besoin d’un rodage. Pourquoi ?
Parce que la surface du cylindre n’est pas lisse, mais composée de pics et de creux. Les creux servent à la lubrification, mais les pics sont inutiles et même dommageables au moteur. Il faut donc les supprimer et c’est là qu’intervient le rodage.
Pour ce faire, deux méthodes :
–Le rodage traditionnel, passage obligé quand le moteur est déjà monté, mais qui n’est pas la meilleure solution. Je m’explique.
Lors du rodage, le segment de feu se transforme en segment de rodage. Sa surface s’abîme, il arrache des particules au cylindre qui vont se fixer sur la jupe du piston ou dans le bas moteur dans les roulements et les paliers. Cela détériore les surfaces de frottement, ce qui peut causer à la longue fatigue des éléments ,casse et serrage. Cette méthode implique aussi de changer le segment de feu puisqu’en fin de rodage… il est mort ! Mais personne ne démonte un haut moteur neuf en concession et pourtant…
–Le rodage à l’aide du Flex-Hone.
C’est une sorte de hérisson composé de tiges flexibles au bout desquelles sont fixées des billes abrasives en matériaux du genre carbure. La méthode est simple.
Il faut chauffer le cylindre autour de 80° pour lui donner une paroi qui soit similaire à son état de fonctionnement, puis on passe le Flex-Hone huilé dans le cylindre, une fois par le haut et une fois par le bas, à chaque fois 30 secondes. Ensuite, on rince abondamment.
Le résultat est impeccable, la finition est bien supérieure à celle faite par la main de l’homme car les axes d’attaque des billes sont variés et nombreux et plus aucune poussière dans le moteur !
Cette technique est particulièrement indispensable pour les deux-temps dont les lumières sont en général de véritables couperets pour les segments car mal usinées.
Cette technique issue de la Formule 1 allonge la vie et les performances des moteurs et le prix dérisoire de l’outil en fait une technique à la portée de chacun…N’hésitez-pas.