Livre moto : la bible des Ducati Mostro et Monster


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Amateurs, voire collectionneurs du monstre de Borgo Panigale, cet ouvrage est pour vous. Au travers des pages, Ian Falloon, journaliste-historien de la marque, qui a plus de dix ouvrages sur Ducati à son actif (et qui est aussi propriétaire de nombreuses Ducat’), retrace l’historique de la Monster.

Détails de millésimes, séries spéciales, fiches techniques super détaillées (jusqu’à la référence des garnitures de frein !), codes couleur des modèles, tout y passe, au point de faire de ce livre un « bible », aussi bien pour les collectionneurs, que pour les restaurateurs de ce roadster mythique.

Pour finir, la qualité générale (papier, impression, photos) n’appelle pas la critique. Et pour une fois, la traduction des termes techniques de l’Anglais au Français est de qualité. Un livre « approuvé par Moto Mag’ » !

Beau livre : « Ducati Monster, des 400 aux 1100 cm3 », par Ian Falloon, traduction de Serge Cordey, édition ETAI, 158 pages, 21 x 25 cm, prix 38 euros.

Le périphérique a 40 ans, le Prince Noir a 25 ans


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Le boulevard périphérique parisien a 40 ans, et c’est l’occasion de se remémorer un fait-divers célèbre dans le monde de la moto, le record du tour du Prince Noir, qui lui a 25 ans. Ca tombe bien, un romancier, Frédéric Ciriez, en parle dans « Mélo » (éditions Verticales).

En 1988, Pascal, surnommé le Prince Noir, boucle sur une Suzuki GSXR le tour du périphérique (35 km) en 11 minutes, donc à la vitesse moyenne de 192 km/h. Cet « exploit » est filmé par une caméra installée derrière la bulle de sa Gex. Un reportage sensationnaliste est diffusé dans l’émission « Reporters » sur la 5, qui se veut alarmiste sur les risques pris par une certaine partie de la jeunesse française, et se conclut par un petit rappel, 800 motards se sont tués sur les routes cette année-là.

A une époque où ni Internet, ni la Go-Pro n’avaient encore révolutionné la diffusion des exploits à moto, ce reportage a fait le tour de France et alimenté la controverse, confortant ceux qui pensent que les motards sont tous de dangereux abrutis. Le Prince Noir est, par la suite, devenu une sorte de légende. Il y a ceux qui l’ont connu, ceux qui savent ce qu’il est devenu et ont même son numéro de portable, et ceux qui affirment que Pascal est mort. Il y a ceux qui démentent… Et il y a ceux qui l’intègrent à un roman.

Frédéric Ciriez a publié récemment « Mélo » aux éditions Verticales. Dans la première partie de ce roman construit comme un triptyque, narrant trois drôles de vies parisiennes, il ne fait pas parler le Prince Noir mais Christian, un autre motard qui, à l’époque, s’éclatait lui aussi avec ses amis sur les voies rapides urbaines autour de la capitale.

Selon le romancier, ce fait-divers symbolise la surenchère dans la production d’images toujours plus sensationnelles, et devient une métaphore de l’accélération culturelle. Décryptage…

Dans « Mélo » tu t’intéresses à Paris et au périphérique. Pourquoi le périphérique ?

Sur un plan culturel, de grands écrivains se sont emparés de cette autoroute urbaine, à commencer par Jean-Patrick Manchette. « Le petit bleu de la côte ouest » (1976) commence et termine par l’errance d’un cadre sur le périphérique. Son personnage est satellisé, c’est une élipse de la dépression, du vide, de la misère intellectuelle et politique. En 2002, Olivier Rolin a publié « Tigre en papier ». Un conducteur en DS nostalgique roule sur le périphérique en racontant Mai 68 à sa passagère, fille d’un copain maoïste qui est décédé. Il existe un imaginaire littéraire, culturel, politique et véhiculaire du périphérique.

Le mythe du Prince Noir, tu es tombé dessus par hasard ?

Non, l’histoire du motard qui a fait le record du tour m’intéressait. Un copain m’a affirmé le connaître, il a fini par me rencarder sur un mec un peu mystérieux, Christian. Je vais le voir en banlieue. Ce n’est pas le Prince Noir mais il l’a connu… Cet ancien cascadeur me raconte avoir vécu les courses de moto sur le périph’ dans les années 80. Il a même été payé par la télé belge pour jouer le rôle d’un faux Prince Noir. Cet entretien fut d’une richesse incroyable : les courses, les reportages télé bidonnés… Tu imagines la masse de significations répercutées par le périph’ : le spectaculaire et le simulacre ! J’ai décidé de mettre en scène la parole de Christian. J’ai injecté cette vraie interview dans le roman, à travers une fausse émission de France Culture, « Récit B », qui passe dans l’autoradio d’un de mes personnages. Dans la réalité, la voix de Christian était extraordinaire et dans le contexte d’un roman, le challenge était de la retranscrire à l’écrit, tout en la plaçant dans une émission de radio !

Tu utilises l’événement « Prince Noir » comme le symbole d’une société qui tourne en rond…

Le Prince Noir et son record « stupide » allaient au-delà d’une simple perf’. Je l’interprète comme un symptôme, révélateur de l’accélération culturelle. L’Allemand Hartmut Rosa a publié, en 2010, un essai incontournable, « Accélération », qui est une critique sociale. Le mythe du Prince Noir, c’est l’accélération dans tous les sens du terme, la pulsion de mort, la centrifugeuse culturelle qui produit des images, des disques et des bouquins tous les jours en sachant qu’on ne pourra pas les lire. Le Prince Noir annonce, à sa manière, cette centrifugeuse culturelle qui nous noie. Je suis convaincu que Prince Noir n’a pas pu installer une caméra sur sa bécane seul, contrairement à ce qui est affirmé dans le reportage diffusé sur La 5. Christian, qui a fait du cinéma et connaît la technique, estime que ce récit a été bidonné par les journalistes, et je veux bien le croire. On est dans le spectacle.

Prince Noir n’a rien tiré de cette aventure…

Ce témoignage, c’est aussi l’histoire populaire de gamins de banlieue qui venaient à Paris. Je ne me moque pas de ce record, j’essaie d’en comprendre le sens. Après lui, il y a eu Ghost Rider, encore plus cinglé, qui a stylisé le concept en faisant un clip avec de la techno… Ils intègrent le champ de la production culturelle, ils deviennent des effets de culture générés par la centrifugeuse. En ce sens, Prince Noir est très important. C’est comme son sobriquet stupide : il signale l’impossibilité d’avoir une transcendance par le nom.

Tu n’as pas pu le rencontrer ?

Non, il y a beaucoup de barrières autour de ce Pascal. Mais il n’est pas mort. Cela aurait été intéressant de le rencontrer, mais pour moi il est plus intéressant encore d’avoir enregistré la parole de Christian. Celle de Prince Noir aurait eu d’autres enjeux. Christian est désormais accessoiriste dans le cinéma. Sa modestie et sa prudence m’ont frappé. Il dégage une conscience aiguë du danger de mort. Comme un marin qui prend la mer.

Qu’est-ce que la moto t’inspire ?

J’ai un regard affectueux sur le monde motard. La moto est sensuelle. Le conducteur chevauche la mécanique, il a le corps à l’air libre, ça change la donne. Il fait « un » avec sa machine, il est pris dans les courbes, le relief, dans la physique de la ville.

Tu en as fait ?

Pas plus que ça. J’ai eu des Mob quand j’étais ado. J’ai un frangin plus âgé, il avait une Honda 125 XLS, on allait faire des tours avec, j’étais fou. Mon seul fait d’arme est de l’avoir gaulée et de m’être fait serrer par les flics à la sortie de Paimpol (Côtes-d’Armor)… On a habité Dunkerque (Nord), il avait un pote, Bill, c’est la première fois que je suis monté à l’arrière d’une moto. On est parti acheter le programme télé, il est entré dans le magasin et l’a volé ! Pour moi, gamin, tout allait ensemble, j’assimilais la moto à la transgression. Il y avait un côté un peu voyou.

Ton écriture décrit différents univers avec précision. Il est indispensable de se documenter avant d’écrire un roman ?

Je considère que l’imagination est reine, mais tu n’imagines pas à partir de ce que tu connais mal, et surtout tu risques de galvauder la parole d’autrui. Quand j’aborde la moto et le périphérique, domaines qui ne sont pas les miens, je considère que je n’ai pas à dire n’importe quoi. Mais, après m’être documenté, j’imagine. J’ai beaucoup surfé, j’ai eu des meules, je connais des motards… Décrire un mec qui prend une courbe en mettant le genou au sol, c’est pas non plus ce qu’il y a de plus dur, il faut être honnête. J’ai un petit baratin technique mais je ne vais pas non plus très loin. Il faut être joueur, un texte doit séduire mais aussi faire réfléchir. Mais tu sais, aujourd’hui dans le roman, être riche en vocabulaire n’est pas ce qu’il y a de plus « bankable ». Vaut mieux faire simple et parler de soi !

« MÉLO » : ILLUSION NOCTURNE

La veille du 1er mai, deux hommes et une femme circulent dans Paris. Un syndicaliste au bord du suicide, un sapeur congolais chauffeur de camion poubelle et une Chinoise vendeuse de briquets. Trois personnages qui vont glisser dans la nuit… Dans la première partie, une émission de France Culture défile dans l’autoradio. Elle a pour thème « l’accélération ». On revient sur un mythe motard, le Prince Noir et son tour du périphérique. Frédéric Ciriez n’est ni motard, ni sapeur congolais, ni éboueur. Pourtant, sa narration précise alimentée par une recherche rigoureuse sur ce fait-divers, restitue une ambiance crédible. Celle que l’on ressent quand on roule en boucle, la nuit, à la recherche des démons venus hanter le pays des rêves.

Roman : « Mélo » de Frédéric Ciriez, éditions Verticales ; 14 x 20,5 cm, 332 pages, 20 euros.

DVD série Sons of Anarchy saison 4, bienvenue au « club » !


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Pour la 4e saison de cette série réaliste sur les clubs de motards américains, les bikers de « Sons of Anarchy » se prennent encore de sacrés bâtons dans les roues de leurs Harley CVO.

A peine sortis de prison, les membres du club des fils de l’anarchie se voient harcelés par un nouveau shérif et un assistant du procureur un brin vicieux (au guidon d’une vieille Anglaise…). La moto tient toujours un rôle assez secondaire dans cette série de 14 épisodes, mais on assiste tout de même à de belles virées sur les petites routes de la côte ouest, et à de vilaines courses poursuite à travers les ruelles de Charming, le village (bien nommé) qui sert de QG aux affreux.

Dans les décors, l’œil averti trouvera de belles réalisations custom planqués à l’intérieur des garages, et savourera l’ambiance « club » toujours aussi bien restituée. Le scénario reprend du rythme, et de nombreux rebondissements vont faire chavirer l’histoire des fils de l’anarchie jusqu’à la dernière minute, dans laquelle Sonny Barger* en personne joue un rôle… Une saison hautement addictive !

*Sonny Barger et le créateur du premier Chapter des Hell’s Angels.

DVD : Sons of Anarchy, saison 4, réalisé par Kurt Sutter ; 14 épisodes de 45 min + bonus ; 39,99 euros dans la boutique www.motomag.com.

Livre moto : cent ans et toutes ses dents, la FFM !


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Voici un ouvrage encyclopédique, que dis-je, une bible ! La Fédération française de motocyclisme (FFM), c’est cette association qui gère le sport moto en France. La dame n’est plus toute jeune, elle fête ses 100 ans en 2013. Elle n’a pourtant pas pris une ride, et continue, contre vents et marées, de défendre cette passion à contre-courant des diktats environnementaux, les sports mécaniques. A l’occasion de cet anniversaire, la FFM a couché sur le papier sa riche histoire dans un ouvrage richement illustré.

« 1913-2013, cent ans d’histoire et de passion du sport motocycliste » est un beau et gros livre de 240 pages écrit par les journalistes Jacques Busillet et Patrick Tran-Duc. De périodes fastes en phases de replis, de conflits majeurs en apaisements, des clubs aux instances fédérales, il nous replonge dans le passé de la FFM, qui se confond avec un sport qu’elle s’est attaché à développer tout au long de ces 100 dernières années. Un ouvrage de référence, très complet mais jamais ennuyeux.

« 1913-2013, cent ans d’histoire et de passion du sport motocycliste », par Jacques Busillet et Patrick Tran-Duc, éditions RLT ; 240 pages, 22,5 x 29 cm, 38 euros. En vente dans la boutique Motomag.com.

A lire, JyaJya, des mangas nippons et des motos


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Au Japon, les adultes fous de tricot, de pêche à la mouche ou même d’origami ont une série manga correspondant à leur activité. Les motards ne sont pas épargnés, et pour les passionnés de motos anciennes, il y a « JyaJya ». Cette série de 15 volumes décrit l’histoire d’un bouclard de moto italienne et de son équipe passionnée de course et de gymkhana…

Dessinés par un connaisseur dénommé Akira Eno, ces épisodes regorgent de modèles historiques esquissés avec un soin et une justesse rare ! On y trouve aussi quelques motos modernes. Un régal visuel qui nous donnerait presque envie d’apprendre le Japonais, puisque la série n’est pour le jour pas traduite ni importée par la branche française de l’éditeur, et donc introuvable même sur le Net… Mais que fait la FFMC ?

Mangas : « Italian Classic Bike and Jya-Jya » par Akira Eno ; éditions Shogakukan ; 15 volumes, Tarif… non communiqué !

Ciné : « Rush », la Formule 1 dans la peau


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Certes, il n’est pas question de moto dans ce long-métrage hollywoodien. Mais le teaser promet du grand spectacle mécanique. Et Ron Howard, le réalisateur, compte parmi les promoteurs des USA version volant, guidon, carrosseries lustrées et grosses cylindrées. En tant qu’acteur, il était Ritchie dans la série télé « Happy Days » retraçant avec humour et légèreté la gentille famille idéale des fifties. Le rouquin naïf a également joué dans « Americain Graffiti », film culte sur la culture bagnole de la jeunesse en flammes, tourné par l’immense George Lucas (« Star Wars ») en 73.

Depuis, Ron Howard a vu son crâne se dégarnir mais sans doute pas son compte en banque. Producteur, il s’est aussi installé derrière la caméra pour tourner 35 films, dont l’oublié « Lâchez les bolides » (« Grand Theft Auto ») en 77, une série B jonchée de carcasses. Il est aussi le producteur et réalisateur de « Da Vinci Code » en 2006.

« Rush » se situe dans l’univers sans pitié de la Formule 1 et devrait profiter de sa capacité à produire du grand spectacle. Ce long-métrage retrace le duel entre deux rivaux légendaires, James Hunt et Niki Lauda, concourant pour les écuries McLaren et Ferrari durant la saison 76. Tout oppose le play-boy anglais James Hunt à Niki Lauda, son adversaire autrichien, réservé et méthodique. Au paroxysme de la compétition, celui-ci subira un terrible accident au Nürburgring (Allemagne) qui le laissera défiguré.

« Rush » suit la vie instable des deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace leur rivalité depuis leurs tout débuts. Le film sortira le 25 septembre dans les salles françaises. Pour patienter, voici le teaser

Clip marrant : un rap en hommage à la Mobylette


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Marrant, ce clip venu tout droit des Côtes-d’Armor. Non, Patrick 51 n’est pas méditerranéen mais bel et bien briochin. C’est de s’être fait sucrer son permis B qui l’a incité à rouler en Peugeot Vogue, et à pondre « Mobylette Musique », rap rafraîchissant qui fait l’apologie du 50… en centimètres cube et non en centilitres anisés. Quoique…

« Je roule en mobylette, Babylone ne veut plus me voir au volant, je faisais trop la fête […] Rouler en mobylette, mec, on a pris l’habitude […] Mobylette musique, tu peux dire que tu es en vogue, si tu roules en Peugeot Vogue […] Mobylette musique, j’veux entendre démarrer les mobs, Easy Rider version futuriste… Pourquoi rouler en caisse, vous loupez les vraies sensations […] La Mobylette c’est l’avenir et je me dis que je suis en avance, vous allez tous vous y mettre quand je vois le prix de l’essence […] »

Patrick s’est rendu à Graulhet, près de Toulouse (31), pour trouver les figurants de son clip lors d’une fête de la Mob. Allez on reprend en coeur : « tu peux dire que t’es en vogue si tu roules en Peugeot Vogue » !

A noter que Pat fifty one n’est pas le premier à s’attaquer à la légendaire Bleue. Les rappeurs de MC Circulaire avaient déjà opéré à un rétropédalage musclé avec le bien nommé « 103 SP ».

Jeu vidéo : trial poursuite en ville


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Parrainé par le trialiste freestyler français Julien Dupont, ce jeu en deux dimensions nous place dans les bottes d’un vilain motard recherché par la police.  Pour lui échapper, à travers les 25 parcours (via 5 univers bien distincts), il faudra au joueur trialiser et back-flipper dans tous les sens, faire évoluer techniquement sa machine et remporter des défis de vitesse, de précision et de style, ce qui devient rapidement prenant !

Malgré la bande son vraiment cheap, et le peu de figures réalisables, on se régale des interactivités avec le décor évolutif, et du mode « course poursuite » avec le fantôme du meilleur joueur connecté. On passe un bon moment avec ce jeu de moto, certes simple, mais bien fait et bon marché, ce qui reste rare…

Jeu vidéo : « Urban trial Freestyle, La grande évasion », édité par Tate Interactive, disponible en téléchargement sur PS-N, PS-Vita et Nintendo 3DSWare ; 14,99 euros.

Et voici le trailer, comme au ciné !

Déjanté : le clip de Hanni El Khatib avec ses motard(e)s sauvages


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Le dernier clip du « born to be bad garage rocker » déjanté Hanni El Khatib, baptisé « Family », met en scène un trip hallucinant de motards sauvages et asiatiques. Avant d’appuyer sur play, éloignez les enfants !

En attendant la sortie de son nouvel album, « Head In The Dirt » le 22 avril, le rocker Hanni El Khatib, dont le tempo garage semble définitivement scotché au milieu des années 60, dévoile un nouveau clip.

Réalisée par Nick Walker, la vidéo met en scène un gang de motards et motardes asiatiques en slip. Oui, en slip ! Ces dépravés en pleine orgie chevauchent des bécanes qui semblent être des 4 cylindres Honda seventies, genre CB Super Sport 400cc. La classe !

Bien évidemment, nous déconseillons aux internautes d’imiter les sympathiques copains et copines d’Hanni, notamment de rouler en petite culotte, car en cas de chute…

A découvrir, la BD rock’n’roll « Jamais en dessous de 130 », par Etienne Pottier

Cinéma : une Triumph dans « Blood Ties » de Guillaume Canet


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L’une des premières photos du tournage de « Blood Ties », polar réalisé par Guillaume Canet aux Etats-Unis, avec James Gray au scénario, montre deux des acteurs, dont Clive Owen, chevauchant une moto, une préparation sur la base de ce qui semble être une Triumph T120.

On n’en sait pas beaucoup plus sur ce film, si ce n’est qu’il s’agit d’une adaptation d’un polar français, « Les Liens du Sang », réalisé par Jacques Maillot en 2007 avec Guillaume Canet et François Cluzet, campant deux frères dont l’un est truand et l’autre policier. La moto n’avait pas un rôle essentiel dans le thriller original.

L’intrigue a été transportée par Canet et Gray à New-York. Un tournage compliqué, comme l’explique le compagnon de Marion Cotillard dans cette interview vidéo sur Lefigaro.fr« Blood Ties » devrait sortir en France le 30 octobre prochain.

Guillaume Canet dirige deux acteurs, dont Clive Owen en passager, chevauchant une préparation sur base de Triumph.